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Les confessions de J.-J. Rousseau |
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Les confessions de J.-J. Rousseau, 1. Les confessions de J.-J. Rousseau Tome 1 / Jean-Jacques Rousseau / Librairie Générale Française (1998)
Titre de série : Les confessions de J.-J. Rousseau, 1 Titre : Les confessions de J.-J. Rousseau Tome 1 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Rousseau, Auteur ; Bernard Gagnebin, Éditeur scientifique Editeur : Librairie Générale Française, 1998 Collection : Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 num. 1098 Description : 499 p. ISBN/ISSN : 978-2-253-01031-9 Résumé : " Je sentis avant de penser ", avoue Rousseau dès le premier livre. Mourant en le mettant au monde, sa mère avait laissé des romans que le père et le fils liront après le dîner. " En peu de temps, j'acquis, par cette dangereuse méthode, non seulement une extrême facilité à lire et à m'entendre, mais une intelligence unique à mon âge sur les passions. Je n'avais aucune idée des choses, que tous les sentiments m'étaient déjà connus. Je n'avais rien conçu, j'avais tout senti. " Cette sensibilité exacerbée fera le malheur du " pauvre Jean-Jacques ". Il se croira aimé, détesté, méprisé, attaqué et voudra se justifier en révélant les détails les plus intimes de sa vie familiale, amoureuse et sociale. Cette sensibilité fera aussi sa force. Par elle, il atteint la vérité de l'homme, l'homme naturel, sans masque, tel qu'il serait si la société ne le pervertissait pas. Stendhal et Chateaubriand s'inspirèrent de cette démarche étonnante : tout dire de soi-même, ses chutes comme ses espérances. Nature du document : fiction Les confessions de J.-J. Rousseau, 1. Les confessions de J.-J. Rousseau Tome 1 [texte imprimé] / Jean-Jacques Rousseau, Auteur ; Bernard Gagnebin, Éditeur scientifique . - Librairie Générale Française, 1998 . - 499 p.. - (Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 1098) .
ISBN : 978-2-253-01031-9
Résumé : " Je sentis avant de penser ", avoue Rousseau dès le premier livre. Mourant en le mettant au monde, sa mère avait laissé des romans que le père et le fils liront après le dîner. " En peu de temps, j'acquis, par cette dangereuse méthode, non seulement une extrême facilité à lire et à m'entendre, mais une intelligence unique à mon âge sur les passions. Je n'avais aucune idée des choses, que tous les sentiments m'étaient déjà connus. Je n'avais rien conçu, j'avais tout senti. " Cette sensibilité exacerbée fera le malheur du " pauvre Jean-Jacques ". Il se croira aimé, détesté, méprisé, attaqué et voudra se justifier en révélant les détails les plus intimes de sa vie familiale, amoureuse et sociale. Cette sensibilité fera aussi sa force. Par elle, il atteint la vérité de l'homme, l'homme naturel, sans masque, tel qu'il serait si la société ne le pervertissait pas. Stendhal et Chateaubriand s'inspirèrent de cette démarche étonnante : tout dire de soi-même, ses chutes comme ses espérances. Nature du document : fiction Exemplaires
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